par Diane Barriault
Tsuga canadensis
De croissance lente, la pruche peut vivre jusqu’à 600 ans et atteindre 30 mètres de hauteur. Lorsque vous levez les yeux au pied d’une pruche, ses rameaux grêles et ses courtes aiguilles donnent l’impression de regarder le ciel à travers une fine dentelle. Ses aiguilles sont plus courtes que celles du sapin, finement dentées, à l’apex arrondi et rattachées au rameau par un court pétiole. Le dessous est marqué d’une bande blanche de chaque côté de la nervure médiane. Les aiguilles de la pruche ne roulent pas entre les doigts, car elles sont aplaties comme celles du sapin. Les cônes s’attachent à l’extrémité des branches. Son écorce est souvent perforée de trous alignés, œuvre du pic maculé à la recherche de sève.
Photo : Richard Pelletier
Aiguilles courtes rattachées au rameau par un court pétiole
Photo : Diane Barriault
Cônes à l’extrémité des rameaux
À gauche, le dessus du rameau, à droite, le revers
Photo : Diane Barriault
Ces trous sont l’œuvre du pic maculé à la recherche de sève
Photo : Richard Pelletier
Photo : Richard Pelletier